La montagne et mes rêves 11 (Pour connaître la montagne)
fleurdatlas | 8
| 12/7/2005
Magnifique ce reportage. Il donne la vraie couleur du rêve. Tendresse
Le vagabond
| 1/15/2006
Merci d'avoir apprécié, j'espère que tu as pu les ouvrir en plus grand en cliquant sur la loupe.
Tahira
| 1/15/2006
Je t'embrasse ma douce.
Mille baisers, sur tes mains, sur tes yeux. Mille baisers sur ton reve Mille baiser sur ton souffle
Tendre nuit. Que ton rêve vienne me cueillir au fond de mon sommeil. Couvre ma peau de ton reve.
Je t'embrasse.
Le vagabond
| 1/15/2006
Je te donne mon amitié, un sentiment solide et joyeux, un enthousiasme incoercif enveloppé de tendresse et de délicatesse, de folies et de rêves, d'espérance, de fraîcheur aux heures chaudes, de gravité aux heures crépusculaires.
Je te donne mon coeur pour que tu t'y reposes lorsque tu es fatigué de tes blessures, tes doutes et tes errances.
Je te donne une amitié de reine des sables et des vents, de princesse des mers et des océans, de fille des Cieux.
Si tu veux ...
Je veux rester au creux de tes mains comme une veilleuse, un caleilh odorant et lumineux dont la flamme est indéfiniment présente n'éclairant que ton pas suivant lorsque tu marches dans la ténèbre, indéfiniment et infiniment présente, sauf... si tu oublies de rajouter l'huile d'olive nécessaire à son alimentation...
Je t'embrasse avec tendresse, douceur, force
Qui que tu sois et quoi que tu penses, je t'aime Douceur, tendresse, courage à toi
La Bergère
| 1/15/2006
Tes mots me touchent comme s'ils avaient des mains. Des mains douces. qui se poseraient sur ma peau à l'endroit du c?ur. A l'endroit des battements. Cela fait des caresses. Cela fait comme un souffle, comme une eau transpercée de lumière.
Dis-moi encore tes secrets d'amour. Dis-moi encore les magies de ta vie. Apprends-moi le ciel, moi qui ne fais que le traverser d'un pas agité et inquiet. Chante pour moi. Danse pour moi. Ris pour moi. Pour moi seul. Raconte-moi l'amour de dieu et des hommes. Dis-moi l'éternité qui porte tes offrandes Dis-moi ton âme murmurante et fragile. Dis-moi ton corps et sa flamme. Dis-moi tes cuisses souples. Dis-moi les coquillages que tu caches. Dis-moi toutes ses choses. Dis-le moi, mille et une nuits, et quelques siècles de plus. Dis-moi la douceur de ton cou. Dis-moi la forme de tes seins. Dis-moi ton ventre et sa profondeur. Dis-moi tes yeux. Dis-moi tes soupirs, tes abandons, tes pudeurs, tes outrages. Dis-moi ton chant quand tu le donnes à mes lèvres. Dis-moi ta danse quand tes voiles se défont. Dis-moi ton rire quand tu te dérobes. Dis-moi ta prière quand je dors près de toi. Dis-moi tes rêves et tes mystères. Dis-moi tes larmes et ta joie. J'aime tes mots quand ils disent : je t'aime. J'aime ta voix quand elle s'offre à ma voix. J'aime ta bouche qui appelle mon nom. J'aime ta langue sur le bord de mes yeux. J'aime tes mots qui se joignent à mes cris. Dis-moi le feu qui brûle ton esprit. Dis-moi l'étoile qui coule dans tes veines. Dis-moi tes tempêtes de chair. Dis-moi surtout la paix et le recueillement et l'abondance dans le renoncement. Dis-moi la sagesse des sables et comment on dénude son c?ur pour marche sans impatience vers un point d'eau perdu au fin fond du désert.
Le Vagabond
| 1/15/2006
Je te dirai beaucoup de choses pendant mille et une nuits, et quelques siècles de plus, si tu n'es pas lassé.
Les prières que je dis pour toi, oui, la paix, le reccueillement, l'abondance dans le renoncement, mes rêves et mes sourires, mes rires et ma joie, oui, certainement. Mes tempêtes, mes pudeurs, mes outrages, peut-être... pas vraiment sûr! Je te parlerai du puits ou de l'oasis qu'on atteint au bout de sa nuit après la traversée du désert.
Mais sauras-tu supporter ma soif sans fièvres ni tourments, patiement, calmement.
Je te raconterai, et lorsque tes yeux se feront lourds, que ta tête dodelinera, je te bercerai avec mes berceuses à moi, celles qui lavent le coeur, celles qui délassent le corps, celles qui guérissent l'âme. Je t'embrasserai doucement sur le coeur là où ta peau est usée de cicatrices successives produites par les autres, toutes les femmes que tu as aimées, qui t'ont troué le coeur, les sens et la mémoire.
Et je te laisserai assoupi auprès de mon coeur, sans bouger, en veilleur, je tiendrai le caleilh odorant, lumineux, dans mes paumes chaudes et je prierai, puis me reposerai enfin, m'abandonnerai à mon Dieu, complètement présente à son amour, à sa présence, dans le calme, la douceur de la nuit remplie d'odeurs de florales ou d'embruns et de silence.
Un jour, au-delà de tout espace dans un temps infiniment proche ou long, nous nous retrouverions et nous reconnaîtrions. Alors, dans la vérité du moment, sachant totalement ce que nous avons été l'un pour l'autre et l'un par l'autre, nous nous embrasserions (= prendre dans les bras) danserions la danse des mondes, et nous saurions, je crois, célébrer notre joie...
La Bergère
| 1/15/2006
J'embrasse tes doigts qui écrivent ces mots. J'embrasse ces yeux, qui voient de si belles choses. Ces yeux qui m'éclairent, qui me donne leur lumière. J'embrasse ce coeur, qui bat si fort, brassant si bien les prières et le chant.
Je t'embrasse toi. Toi l'ardente et la fière. Toi la farouche. Toi, la timide et l'orgueilleuse. Toi, la brûlante.
Le Vagabond
| 1/15/2006
Embrasse-moi, comme tu veux, mon souffle, je te le donne, il me vient de Dieu, reçois-le comme venant de Lui, il ne m'appartient pas!
Je t'aime Vagabond, à ma façon délire...follement et fièrement ouragan, et brise au sommet des monts cataractes, et murmures de sources au fond des bois, sous la mousse épaisse bonne et douce nuit
Tendresse
Le vagabond