Ton dernier message m'a rempli de cette douce joie. De ce calme que tu offres. Même si parfois l'on sent toujours un peu d'inquiétude sur le bord de tes mots. Je n'en prends que la douceur, que la lumière.
Tu m'as fait papillon au lieu de coccinelle. Et tu as bien raison. J'aurais couru tes mains, ton cou, tous tes endroits secrets, tes chaleurs enfouies. Mais j'étais papillon. Je n'ai frôlé que tes yeux en y laissant quelques poudres de couleurs tombées de mes ailes. Comment vas-tu douce, belle bergère ? Comment sont les couleurs de ton coeur ? Parle-moi du caleilh, de cette petite flamme. Parle-moi d'Afa. Parfois je l'envie, moi aussi je voudrais mettre ma truffe dans le creux de ton ventre, lécher le bout de tes doigts. Comment sont tes rêves aujourd'hui ? Sont-ils assez léger pour voler assez haut, et s'accrocher à la queue des nuages ?
Ton voile me tient chaud. Chaque nuit j'en respire les prières. Il est sur mon coeur, à même la peau. Coeur à coeur. Coeur à peau.
Dis-moi que tu vas redescendre bientôt vers la plaine. Vers le soleil. Dis-moi que nos routes vont à nouveau se croiser. Dis-moi que nos chemins vont pouvoir se tresser, comme une corde infinie.
Chaque nuit je lance mon reve, l'entends-tu ? Le vois-tu ? J'y mets toutes mes choses rares, mes pensées, mes mots les plus précieux, j'y mets mes baisers, ma tendresse. Et je m'endors dans les bras de ta danse. Je t'embrasse Tah. Je t'embrasse.
Tu m'as fait papillon au lieu de coccinelle. Et tu as bien raison. J'aurais couru tes mains, ton cou, tous tes endroits secrets, tes chaleurs enfouies.
Mais j'étais papillon. Je n'ai frôlé que tes yeux en y laissant quelques poudres de couleurs tombées de mes ailes.
Comment vas-tu douce, belle bergère ? Comment sont les couleurs de ton coeur ? Parle-moi du caleilh, de cette petite flamme. Parle-moi d'Afa. Parfois je l'envie, moi aussi je voudrais mettre ma truffe dans le creux de ton ventre, lécher le bout de tes doigts. Comment sont tes rêves aujourd'hui ? Sont-ils assez léger pour voler assez haut, et s'accrocher à la queue des nuages ?
Ton voile me tient chaud. Chaque nuit j'en respire les prières. Il est sur mon coeur, à même la peau. Coeur à coeur. Coeur à peau.
Dis-moi que tu vas redescendre bientôt vers la plaine. Vers le soleil. Dis-moi que nos routes vont à nouveau se croiser. Dis-moi que nos chemins vont pouvoir se tresser, comme une corde infinie.
Chaque nuit je lance mon reve, l'entends-tu ? Le vois-tu ? J'y mets toutes mes choses rares, mes pensées, mes mots les plus précieux, j'y mets mes baisers, ma tendresse. Et je m'endors dans les bras de ta danse.
Je t'embrasse Tah.
Je t'embrasse.
Le Vagabond